Le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) est un organisme rodé qui fonctionne bien. Son rôle se limite actuellement à l’aide sociale en faveur des moins aisés. Il travaille en toute confidentialité sur des dossiers individuels et les évoque sous une forme anonymisée pour décision par les administrateurs (élus municipaux désignés par la majorité comme par l’opposition et personnalités locales qualifiées).
Le CCAS deviendra l’outil de cette action solidaire plus généralisée que nous évoquons en tête de cet onglet solidarité.
En effet, il procède déjà aux calculs de quotient familial pour le barême de classement des familles, en prenant connaissance de la situation familiale, des revenus, du nombre d’enfants… et ceci pour la majeure partie des familles fresnoises (seules celles qui se trouvent nettement au-dessus du palier de la dernière tranche ne font pas calculer leur quotient familial).
Il pourra donc aisément se voir ajouter l’évaluation des charges mensuelles globales (cantine, garderie, centre aéré, activités artistiques, culturelles et sportives), afin de faire des propositions de bonification en fonction des règles décidées par le conseil d’administration du CCAS.
Dans cette perspective, une bonne partie des familles de la tranche 7 (la plus élevée) pourraient bénéficier de ces réductions globales, afin d’alléger les charges financières liées à une famille active.
Bien sûr, cela impliquera une augmentation du budget du CCAS, lequel augmentera au fur et à mesure des améliorations financières générées par le nouveau management participatif, notamment les réductions de coûts inutiles. Ainsi tout en travaillant dans un cadre plus agréable et mobilisateur, les agents communaux auront la satisfaction de constater que leurs bonnes idées sont directement porteuses de bénéfices pour les familles et la jeunesse fresnoises.
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