– La première règle sera celle de solidarité, en interne comme en externe.
En interne, il s’agira de porter encore plus d’efforts sur les rubriques solidarité en vérifiant bien l’efficacité réelle des dispositifs : pas forcément beaucoup plus (un peu quand même), mais surtout mieux !
En externe, il s’agira de porter le combat politique auprès du Territoire et de la Métropole pour mettre en place des mécanismes de solidarité des villes les plus riches vers les plus pauvres.
Fresnes étant à peu près dans la moyenne, il n’y a pas beaucoup à en attendre financièrement, mais c’est une question de principe : Fresnes doit dire fermement qu’elle défend la solidarité. Elle sera d’ailleurs d’autant plus crédible que ce ne sera pas vu comme une revendication personnelle.
– La seconde règle sera l’amélioration du cadre de vie.
Outre les bénéfices personnels qu’en tireront les Fresnois(es), ce qui est l’objectif prioritaire, elle aura également un effet positif sur le commerce et l’activité.
Il y a donc des retombées financières positives à en attendre également.
– La troisième règle sera le sérieux budgétaire et une gestion économe.
Le sérieux budgétaire c’est d’abord de ne pas creuser les déficits et donc augmenter l’endettement : nous y serons très attentifs.
Mais générer des excédents en supprimant (ou en rendant payants) des services et en augmentant les impôts, n’est vraiment pas un titre de gloire !
Une saine gestion, c’est obtenir le meilleur rapport services/impôts via l’accroissement de l’efficacité collective : cela passe par un management participatif qui réduit les non-valeurs en augmentant le plaisir au travail, par la concertation réelle et par un management de projet qui permet de faire bien du premier coup.
Une saine gestion, c’est aussi faire vite, car toute perte de temps se traduit immanquablement par une augmentation des coûts.
Enfin une saine gestion, c’est ne pas « marquer son territoire » en rejetant systématiquement ce que le prédécesseur a fait étudier… et que la ville a financé (voir nos propositions sur l’urbanisme).
Quand nos réformes porteront leurs fruits, la plus grande part des gains financiers ira vers l’amélioration des services et la solidarité et une petite part vers la réduction des taux d’imposition.
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