Dans tous les projets, nous travaillerons avec les aménageurs et bailleurs sociaux pour une réelle mixité sociale au sein même des immeubles, comme c’était le cas de Paris quand elle était encore une ville populaire.
Des structures locales de rencontre et de concertations seront mises en place pour faire en sorte que cette intégration sociale soit effective et pas simplement un slogan vertueux mais sans effet. Il ne suffit pas de dire « y’a qu’à » pour que de belles idées se mettent en place : il faut aussi un peu de travail, d’application et d’implication.
Ces méthodes de travail « sociales » et « urbanistiques » pourront d’ailleurs s’appliquer à des quartiers actuels qui ne sont pas encore à l’optimum (par exemple le quartier de la Cerisaie qui est très loin du concept d’écoquartier). Comme dans les opérations de rénovation urbaine subventionnées par l’ANRU (agence nationale de rénovation urbaine), ces opérations se feront avec une étroite association de la population, en incluant deux cercles : celui des habitants du quartier et celui de toute la commune.
Avec le changement de maire en 2017 (donc 3 ans à l’été 2020), les évolutions urbanistiques de Fresnes 2030 ont été gelées et aucune réflexion nouvelle n’a été engagée, ni même prévue (la réflexion Fresnes Demain, engagée par la dernière maire, était uniquement conçue dans une perspective de très court terme, l’élection municipale de 2020).